Comment se motiver à faire du sport ?

Comment ne plus jamais baisser les bras

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Cher lecteur,

La plupart des gens ont envie de faire du sport. Ils veulent entretenir leur physique, être en bonne santé, attirant, fort…

Mais la vérité, c’est que très peu y parviennent.

L’obstacle qui bloque tous les autres, c’est la motivation.

Ce message est un guide adressé à tous ceux qui en manquent.

Je vais vous apprendre à vous motiver.

Regardez les choses en face

Ceux qui se motivent à faire du sport régulièrement n’y arrivent pas par hasard.

Ils n’ont pas plus de temps que les autres.

Ça n’est pas « plus facile » pour eux.

La vérité, c’est qu’ils sont plus forts que les autres.

Eux aussi connaissent la fatigue, la paresse, le manque de temps.

Ils sont juste mieux armés pour les surmonter. Ils ont le mental.

Ils ont travaillé pour construire ce mental.

La bonne nouvelle, c’est que vous aussi, vous pouvez vous construire un mental d’acier pour vous motiver au sport.

Comment devenir plus fort que la flemme

C’est une question de discipline.

Vous l’avez sûrement remarqué : on va très vite à laisser les petits tracas du quotidien prendre une place exagérée.

Quelques minutes d’inattention et on commence à angoisser pour des broutilles, ou à s’apitoyer sur son sort pour des motifs dérisoires.

On s’enfonce dans une spirale d’excuses, de doutes… et on laisse tomber ses résolutions.

C’est là que le mental intervient : avec de l’entraînement, votre esprit apprend à se discipliner.

Le mental, c’est la capacité à réaligner ses pensées sur ses ambitions – puis à traduire ces pensées en actes.

Pour y parvenir, il faut créer des automatismes. Trouver le plus court chemin vers la persévérance.

Ces automatismes, ce sont des façons de voir les choses qui les rendent plus faciles.

Forcez-vous à voir les choses d’une certaine manière, jusqu’à ce que ça devienne un réflexe. Voici quelques conseils pour créer des perceptions motivantes. 

1er conseil : prenez du plaisir

Si vous voulez persévérer quelque part, il faut prendre du plaisir.

  • Si vous pensez que le sport est une contrainte,
  • si vous y allez à reculons,
  • si vous voyez l’entraînement comme un sacrifice auquel vous consentez,

Ce n’est même pas la peine de commencer.

Vous allez tenir 6 semaines avant de laisser tomber.

Le sport doit être votre moment. Celui qui vous fait du bien. Si vous y allez avec la conviction que c’est un bon moment qui s’annonce, vous n’aurez plus l’impression de vous forcer.

Je sais ce que vous allez me dire : on ne peut pas se forcer à éprouver du plaisir.

En fait, si. Vous pouvez vous conditionner à ce genre de choses.

J’ai déjà parlé du conditionnement à propos de la domination : en adoptant des postures de confiance et de domination, on finit par sécréter les hormones qui nous font spontanément tendre vers ces attitudes. 

Vous pouvez faire la même chose avec le plaisir.

Visualisez votre séance de sport, et imaginez-vous heureux de courir, de pédaler, de nager, de soulever des poids…

Habituez-vous à vous représenter mentalement en train de passer un bon moment pour rendre cette idée crédible.

Profitez de votre séance de sport pour écouter de la musique qui vous plaît, ou un podcast qui vous intéresse.

Ensuite, trouvez des motifs raisonnables d’être heureux pendant le sport :

  • La beauté du paysage en vélo
  • L’impression de puissance quand vous soulevez une charge lourde
  • La communion totale avec l’instant présent quand vous courez
  • Les pensées qui disparaissent pendant l’effort, la quiétude qui s’empare de vous

Et bien sûr, mesurez votre chance de pouvoir bouger. Gardez en tête que d’autres sont cloués dans un fauteuil avec pour seuls muscles valides ceux des paupières.

2ème conseil : faites-en un jeu

Pour persévérer, l’esprit humain a besoin de sens et de stimulation.

Si vous allez lever des haltères sans y penser, ou en suivant béatement un programme de musculation qu’on vous a donné, comment voulez-vous tenir sur le long terme ?

Il faut vous impliquer.

Transformer l’entraînement en un jeu, avec des règles et des récompenses.

Suivez votre progression en notant la distance que vous parcourez, votre vitesse moyenne, les poids que vous soulevez…

Consignez tout ça dans un carnet, dans votre téléphone, et fixez-vous des objectifs.

Réfléchissez aux moyens d’atteindre ces objectifs, élaborez des plans.

Définissez des dates précises pour vos entraînements, soyez rigoureux, comptez votre nombre d’heures de sport par semaine…

Aidez-vous d’applications, de tableaux, de graphiques si vous le souhaitez…

Prenez des photos de votre corps qui change, admirez votre transformation.

Si vous transformez vos efforts en une réalité visible et mesurable, votre esprit pourra l’appréhender plus facilement, et donc y consentir sans réserve.

Non seulement vous serez plus impliqué, mais vous serez plus rigoureux, ce qui accélère la progression.

Et faites-vous plaisir de temps en temps, avec un bon repas pour célébrer l’atteinte d’un objectif.

3ème conseil : mettez-y de la fierté

En mesurant votre progression, en vous fixant des objectifs… vous stimulez votre esprit de compétition.

Quand on s’implique peu, il est facile de trouver des excuses : « Oui, je n’arrive pas à courir plus de vingt minutes, mais c’est parce que je m’en fous ».

Vous avez sûrement déjà entendu ça. Peut-être même que vous l’avez dit.

Je ne sais pas si vous imaginez la stupidité de cet argument.

Cela revient à dire : « J’ai fait semblant de me mettre à la course à pied, mais j’ai laissé tomber parce que je n’ai rien dans le ventre. Mais si je voulais, je pourrais, hein ! ».

Je ne sais pas comment vous appelez ça, mais chez moi c’est la définition de la lâcheté.

Je préfèrerai toujours quelqu’un qui essaie, mais n’y arrive pas, que quelqu’un qui ne fait rien, et ne saura jamais s’il peut ou non atteindre un objectif.

D’autant qu’à force d’essayer et de persévérer, très souvent on arrive à atteindre ses objectifs… et on se découvre des ressources insoupçonnées.

C’est quand on se donne à fond que la fierté entre en jeu. Parce qu’on ne peut plus se cacher derrière un manque d’investissement : on se donne, et on veut des résultats.

La fierté est un levier d’action et de motivation surpuissant : la fois prochaine, vous voudrez tenir une minute de plus en planche, ou soulever une fois de plus cette barre qui vous a fait plier…

Vous allez développer votre envie de conquête, et deviendrez plus combatif dans tous les domaines de la vie.

Vous n’aurez plus jamais l’impression d’être faible ou démuni, au contraire : vous aurez la rage.

Vous serez enfin prêt à y aller « avec les tripes »… et vous réaliserez que tout est possible.

Car  je le répète, peu importe votre niveau de départ, vous pouvez aller très loin.

4ème conseil : allez-y en meute

On a toujours dans notre entourage des gens qui nous ressemblent.

Si vous avez envie de faire du sport, il y a sans doute des gens dans votre entourage qui en ont envie aussi, voire qui en font déjà.

Parlez avec eux, essayez de vous joindre à leur activité, si elle vous inspire. C’est un excellent point d’entrée.

C’est aussi la garantie de vous motiver plus facilement : si les autres y vont, vous allez vouloir honorer l’accord tacite qui vous lie. Vous ne voudrez pas leur faire faux bond.

Attention à l’effet inverse : le groupe démultiplie ce qu’il y a de meilleur en chacun, mais il peut aussi vous tirer vers le bas.

Si c’est toujours à vous de motiver les autres, ils risquent de vous faire douter de votre propre motivation.

Il suffira d’un moment de doute, et le « on n’y va pas ? » innocent de cet ami que vous devez toujours motiver va résonner plus fort en vous. Si votre motivation est fragile, cela suffira à vous faire renoncer.

C’est pourquoi ce conseil est à prendre comme un bonus si vous avez des amis qui sont à la hauteur des objectifs que vous vous fixez.

Cela renforce la motivation, bien sûr, mais aussi le plaisir qu’on a à s’entraîner, car c’est l’occasion de passer du temps entre amis.

5ème conseil : cherchez le « shoot » d’endorphines

Après des efforts intenses, votre corps sécrète des hormones dont le rôle est de vous détendre et de vous rendre heureux : les endorphines.

C’est ce que vous ressentez en sortant d’une salle de sport, quand tout vous semble facile et calme.

Vous ne pensez plus aux tracas du quotidien, vos pensées vagabondent, rien ne semble trop dur… Et ce pendant plusieurs heures après l’effort.

Ce « shoot » d’endorphines, c’est la récompense du corps ; une sensation de bien-être générale.

Une récompense immédiate, facile et saine. Car la sécrétion d’endorphines a beaucoup d’effets positifs :

  • Elle diminue le stress et les angoisses (effet anxiolytique)
  • Elle atténue la douleur physique (effet antalgique)
  • Elle vous met dans un état de quiétude très agréable

Plusieurs études mettent en lumière le rôle des endorphines dans la différence de niveaux de stress entre non-sportifs et sportifs, ces derniers étant en moyenne beaucoup plus détendus.

Alors si vous hésitez à faire votre séance… Pensez à l’état de bien-être qui vous attend.

6ème conseil : pensez sur le long terme

Si vous êtes à l’aise avec votre corps, si vous n’avez rien à « régler » par le sport, vous pouvez parfois douter de son intérêt.

C’est dans ces moments-là qu’il faut être rationnel. Rappelez-vous que le sport est une activité extrêmement positive pour votre santé :

  • Vos muscles renforcent votre système immunitaire
  • Le travail cardio-vasculaire améliore la vascularisation de tout le corps et la santé cardiaque
  • Vous éliminez du gras, vous réduisez le risque de diabète
  • Vous améliorez votre production de testostérone
  • Vous renforcez votre corps face au vieillissement et aux douleurs

Si je commençais à lister tous les bienfaits du sport, je pourrais continuer des dizaines de pages. Ce n’est pas l’objectif.

Ce que je veux vous dire, c’est que l’activité physique est gratifiante sur le court terme ET sur le long terme. Qu’elle renforce le corps ET l’esprit.

Il n’y a pas de contrepartie, rien à « payer » en retour. La seule chose dont vous avez besoin, c’est de carburant pour vous lancer.

 Ce carburant, c’est la motivation.

Le mot de la fin : restez intransigeant dans un monde oisif

Ces quelques conseils sont les garde-fous qui m’aident à garder la motivation.

Ils sont personnels, mais j’espère qu’ils vous donneront envie de vous dépasser.

J’ai eu envie de les partager avec vous, car il est difficile de rester exigeant avec soi-même, dans un monde comme le nôtre.

Tout est prétexte, excuse, et l’on n’a jamais autant justifié l’indolence qu’aujourd’hui.

Si vous en doutiez encore, je vous invite à jeter un œil aux statistiques d’évolution du surpoids, de l’obésité, du diabète de type II

La réalité est en train de nous rattraper. L’espérance de vie stagne et recule même à certains endroits.

La raison en est simple : notre mode de vie n’a plus grand-chose à voir avec ce pour quoi nos corps sont faits.

Ne soyez pas un animal domestiqué par le pain et les jeux qu’on vous sert

N’écoutez pas ceux qui disent qu’il faut accepter son sort, plutôt que de vouloir perdre ces kilos qui vous minent.

Le réel, lui, n’a pas changé : mieux vaut être mince et en bonne santé que gros et malade.

Alors si vous voulez vous mettre au sport et reprendre le contrôle sur votre corps, tenez bon : vous pouvez y arriver.

J’espère vous aider du mieux que je pourrais.

Bien cordialement,

Marc

4.8 4 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest

38 Commentaires
Le plus récent
Le plus ancien Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Josette FILIPPI
Josette FILIPPI
3 années il y a

Bonjour, A la lecture de tous vos commentaires, je me retrouve. Vous avez entierement raison, il faut être intransigeant avec soi-même. Souvent quand je dis certaines réalités me concernant, ces personnes me disent que je suis trop dure avec moi-même. Je suis effectivement très dure avec moi-même et je l’avance au risque d’entendre ce que je viens de vous écrire plus haut. Je dis souvent « que l’on n’a rien sans rien faire », qu’il faut se bouger. Chacun est libre de faire ce qu’il veut ou ce qu’il peut, mais si vous ne faites pas d’efforts, vous n’aurez pas « à vous… Lire la suite »

Magrett
Magrett
3 années il y a

Merci Marc de ces précieux encouragements. Quand je me sens prête à renoncer parce qu’il pleut ou que sortir le vélo demande des manipulations, je pense à vos idées sur la discipline et j’y vais. Courage et persévérance, prendre du plaisir à faire de l’exercice maintient la motivation !

ilias
ilias
3 années il y a

Merci Marc pour ces conseils,vous m’avez convaincu je vais me bouger rapidement.

Gobbo
Gobbo
3 années il y a

tout simplement un Grand Merci

bilot
bilot
3 années il y a

formidable, un grand merci, je m’y mets tout de signe

Corinne
Corinne
3 années il y a

Je partage globalement vos idées et bons conseils mais attention à ne pas généraliser ou prendre des raccourcis. Dans votre remarque « mieux vaut être mince et en bonne santé que gros et malade », cela peut être blessant et incorrect. Tous les gens gros ne sont pas malades et tous ceux qui sont minces ne sont pas en bonne santé. A part ça, je suis d’accord, mieux vaut être en forme et il est de notre responsabilité individuelle de prendre soin de nous-mêmes.
Merci de partager votre expérience avec vos lecteurs!
Corinne

Genevieve
Genevieve
3 années il y a

J adhère en totalité à cet article pour l avoir vécu 50 ans. Et m en etre sentie fort bien. Depuis que j ai arrêté, j ai mal partout.
Le probleme actuel, c est la fermeture des salles, et la vision que les gens- famille comprise- ont des plus de 70 ans. Merci en tout cas pour ce rappel.
J oubliais…je suis une femme. Désolée !

Seb
Seb
3 années il y a

Un bon rafraîchissement pour le mental.
J’apprécie la séparation des sujets et leurs emboîtement logique par la suite!
Mon détonateur pour me bouger les fesses a été le reportage de France2 avec Marius.
Depuis ça marche super.
Ces lettres reboulonnent allègrement ce qui se relâche 👍
Merci bien!

Celmar
Celmar
3 années il y a

Merci pour ces conseils.

Nor Eddine
Nor Eddine
3 années il y a

MERCI..

Jean-Luc Viens
Jean-Luc Viens
3 années il y a

merci Marc, pour tous ses bons conseils. c’est très apprécié de ma part.

Jean-Paul
Jean-Paul
3 années il y a

Merci pour toutes ces bonnes recommandations pleines d énergie

CHRISTIAN
CHRISTIAN
3 années il y a

Très bons conseils – et surtout qui donnent envie de les mettre en pratique ! J’ajoute que la formulation est très claire et judicieuse : j’ai lu cette lettre avec beaucoup de plaisir.

IMBANDA Lokenga
IMBANDA Lokenga
3 années il y a

Bons et efficaces pour une motivation qui dure.

jacques
jacques
3 années il y a

Bonjour Marc. je lis depuis le début vos lettres régulières et c’est un réel plaisir de se remémorer ces conseils qui m’avaient été inculqués étant enfant. J’y retrouve la force de se surpasser et l’envie d’être au mieux de sa forme, un sentiment qui comble de bien être chacune de mes journées. Merci encore pour tous vos judicieux conseils.

Mario Guilbert
Mario Guilbert
3 années il y a

Bravo ! Merci de confirmer ce que le sport et l’activité physique m’ont apporté et qui contribuent à ma qualité de vie. Merci pour vos conseils portant sur le rôle de la force mentale. Je vous félicite enfin pour vos textes écrits de manière impeccable.

Eric P. Léonard
Eric P. Léonard
3 années il y a

Bonjour Marc.

Vos conseils sont géniaux.

Je les applique. Il me font énormément de bien.

J’ai conseillé à mon fils de s’inscrire à vos messages. Il l’a fait.

Bravo pour ce que vous faites.

RIERA
RIERA
3 années il y a



Alain
Alain
3 années il y a

Bonjour Marc, Tes lettres thématiques sont parfaites. Elles permettent de réorganiser des éléments de méthodologie piochés à droite ou à gauche. (Autodidacte sportif) Disparates ces éléments ne sont pas super efficaces dans la pratique (course à pied, musculation poids-du-corps) (hormis le plaisir, la gratitude, la fierté effectivement ressentis quand on repousse ses propres limites) Mais lire tes topos clairs, précis, permet d’ aligner et d’agréger théorie et pratique (parfois très empirique, => essais +ou- bof, surplace et progression au petit bonheur) (la bouée de sauvetage étant effectivement bien : le plaisir moral et « endorphinique »d’une pratique sportive régulière.) Et puis cela… Lire la suite »

Etienne
Etienne
3 années il y a

Excellent, je partage votre philosophie, je retrouve dans cet article de nombreuses choses que je pense et je suis d’accord avec votre liste des moteurs de motivation, je place également le plaisir en premier déclencheur de l’action ce qui n’était pas encore le cas quand je m’y suis mis. Petit bémol, le fait d’avoir du temps est quand même très important et je pense qu’il faut trouver des astuces pour s’en libérer, comme par exemple renoncer complètement à la TV. Il y aurait sans doute un article à faire là-dessus 🙂

EKICI
EKICI
4 années il y a

Parfois on se sent bien seul pour se motiver dans la persévérance, mais après, quel plaisir cette sensation de puissance, non seulement physique mais aussi psychique.
Cela gonfle à bloc la confiance en soi ce qui resurgit autant sur le plan professionnel
que personnel. Je suis content de lire vos articles: j’ai l’impression de puiser dans une
inépuisable d’énergie dans cette société à l’envers. Merci pour votre générosité!

Wilde
Wilde
4 années il y a

Marc bonjour, Voilà plusieurs semaines désormais que je ne manque la lecture d’aucune de vos lettres, à défaut de les attendre… et, je le confesse sans fierté, de m’être véritablement remis tout à fait activement à… « mon bien ». Il me vient ce matin cependant le besoin de vous remercier déjà, tant vous m’avez déjà redonné, avec vos mots si prompts à me sembler être les miens, un regain certain de confiance en demain et la foi, ce faisant, dans ce que j’y peux, ce que « je m’y dois » moi. Je vous écris non sans avoir en vérité à l’instant fait… Lire la suite »

RIERA
RIERA
3 années il y a
Répondre à  Wilde

Mon témoignage a disparu…

Pierre Dercy
Pierre Dercy
4 années il y a

Comme d’hab, je suis d’accord avec Marc. Tout ça est très bien développé.
Chez les commandos, le mental intervient pour 80%, et, en général, le physique suit.
L’activité physique, pour moi, c’est de l’autodiscipline et le plaisir vient après. C’est comme la satisfaction du devoir accompli, un devoir envers soi-même, par amour-propre.
Mes activités de groupe avec mes anciens camarades constituent effectivement une motivation supplémentaire (et aussi à la 3ème mi-temps, comme on dit), n’est-ce pas Marc?

pauline
pauline
4 années il y a

Bonjour ! je n’ai que deux mots : Parfait ! continuez !

Liliane
Liliane
4 années il y a

Merci pour vos conseils dynamiques, positifs tant pour le physique que pour le moral.
Grâce à vos lettres, je reprends régulièrement le sport. Merci encore et très belle journée.
Liliane 🙋‍♀️

Cabrier
Cabrier
4 années il y a

Très très bien vu, motivant !

Carole
Carole
4 années il y a

Bonjour 👋
Je prends un réel plaisir à vous lire, vous savez utiliser les bons mots pour me motiver et je vous encourage à continuer à partager vos connaissances avec vos lecteurs.
Je suis certaine que ça vous fait du bien de faire plaisir.
A bientôt.

PIERRE DESIDERI
PIERRE DESIDERI
4 années il y a

Pratiquant le sport depuis longtemps (en amateur !) je tiens à vous féliciter et vous remercier pour cet article très éclairant. Notamment sur la persévérance, toujours le plus difficile, c’est de « confirmer » dans la durée. Je suis plus réservé sur la fixation d’objectifs, qui peut nuire au plaisir.
Votre article est très motivant, un grand merci !

Marylene BIEWESCH
Marylene BIEWESCH
4 années il y a

Wouahou ! Ça s’en est un beau coup de pied au cul…merci. bon à mon âge (65 ans) j’aurais plutôt intérêt a être prudente, pour éviter un « accident « a la con…Loîn de moi le désir de frimer, juste envie d être plus solide et ne plus être skuizee par le peu de personne qui me côtoie…comme si j allais me casser en deux rien qu’en preparant une casserole de pâtes. ^^.; wouai c’est pas terrible pour l’image de soit…une « meute ? » Euh c’est une idée qui l’en est bonne …mais je la trouve ou? Bien jp toujours commencer par marcher… Lire la suite »

François Beĺlemare
François Beĺlemare
4 années il y a

Merci. Pertinent, concis et efficace. Good work. 😀

Robert Moreau
Robert Moreau
4 années il y a

Bonsoir, j’applique ces conseils depuis le début, et j’ai des résultats tout à fait encourageants ! C’est tout à fait ça : Persévérance, patience car on ne devient pas Schwartzy en 3 mois mais plutôt en 10 ans au moins !!! Tout se passe en dehors de ta zone de confort. Et pas la peine de prendre des anabolisants qui vont esquinter les émonctoires que sont le foie et les reins, c’est tout bonnement du trompe l’oeil !
Merci pour ces lettres qui seront utiles à plus d’un et d’une.
Bonne continuation, et au plaisir de lire les suivantes.

MARIE-TANAKA
MARIE-TANAKA
4 années il y a

Tout a fait en osmose avec les commentaires de Bertrand et Carmen-marina. Dommage de ne pas vous avoir decouvert en 2017, lorsque a 67 ans, je me « battais » contre une polyarthrite-rhumatoide severe, actuellement en remission. grace a vos lettres-conseils, je ne lache rien !.

RIERA
RIERA
3 années il y a
Répondre à  MARIE-TANAKA

Bravo Madame, continuez tatn que vous le pourrez…Cordialement.
Michelle

Bertolami CarmenMarina
Bertolami CarmenMarina
4 années il y a

Merci de tout Coeur 💖 j’ai vraiment besoin de lire (à haute voix) ce merveilleux encouragement 🎉 je suis dans une phase de doutes et de remise en question soit sur le plan affectif que sur le plan physique (forcément) ainsi que professionnel…!!! J’ai “abandonne” mon seul et unique sport/jeu “favori” je GOLF 🏌️‍♂️ Après ce mail ; je vais m’équiper et poser dans le coffre de ma voiture mon sac de sport ….et en avant toute 🌹 qui m’aime me suite 😂 belle journée ☀️😎 et suis pleine de Gratitude de pouvoir me “bouger” et je béni mon corps… Lire la suite »

Bertrand
Bertrand
4 années il y a

Vos lettres sont exceptionnelles et je me régale à les lire et … les appliquer.
Mille mercis. Vous ne sollicitez pas que le corps, mais le mental, le psychisme.
Quel travail vous fournissez, pour notre plus grand plaisir !
Clotilde

Recevoir les 8 conseils de Marius